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Le rapport annuel du Secrétaire général de l’OSCE donne une vue d’ensemble des activités de l’Organisation et de sa coopération avec les États partenaires et d’autres organisations.

Si la définition et la portée du terme « combattant terroriste étranger » sont sujets à controverse, cette expression sert généralement depuis quelques années à désigner une personne qui a quitté son pays d’origine pour se rendre dans un État où elle commet ou appuie des actes terroristes, y compris dans le contexte d’un conflit armé, en particulier en Iraq et en Syrie. Le présent document a pour but de fournir aux États des orientations (accompagnées d’analyses) au sujet de certaines questions essentielles en matière de droits de l’homme. Ces questions doivent être prises en compte pour faire face, dans le respect des droits de l’homme et de l’état de droit, aux menaces posées par les combattants terroristes étrangers. Après un bref aperçu du contexte et des réponses apportées à l’échelle internationale et nationale, nous formulerons un ensemble de recommandations pour gérer les flux et le retour de combattants terroristes étrangers de façon conforme aux droits de l’homme.

Former une coalition permet à chacun de ses membres de mieux se faire entendre en s’associant avec les autres. L’antisémitisme, l’intolérance et la discrimination sont profondément ancrés dans l’ensemble de la région de l’OSCE; pour les combattre, nombre de communautés et d’organisations doivent conjuguer leurs efforts. Aucun groupe isolé ne peut mener seul une action de cette envergure. En réunissant des groupes dotés de différentes compétences, expériences, ressources et relations, les coalitions peuvent constituer un moyen très efficace d’introduire des changements à grande échelle et durables pour traiter les questions de discrimination. Le nouveau guide du BIDDH propose aux dirigeants communautaires et aux organisations de la société civile de la région de l’OSCE une démarche fondée sur les droits de l’homme, et une base concrète pour former des coalitions visant à combattre la discrimination et à bâtir des sociétés plus tolérantes et plus pacifiques. Ce guide, qui contient une multitude de ressources et de bonnes pratiques, des conseils pour prendre en compte les questions de genre et des instructions étape par étape, constitue un point de départ, non seulement pour les organisations de la société civile et les communautés qui s’organisent pour créer des coalitions, en vue de renforcer l’action contre l’intolérance et la discrimination, mais aussi pour l’ensemble des membres de la société civile qui souhaitent former des coalitions pour défendre leur cause.

Le rapport annuel du Secrétaire général de l’OSCE donne une vue d’ensemble des activités de l’Organisation et de sa coopération avec les États partenaires et d’autres organisations.

Les présentes lignes directrices sont fondées sur les engagements de l'OSCE et sur les normes universellement reconnues en matière de droits de l’homme que les États participants de l'OSCE se sont engagés à respecter. Elles reposent sur les principaux instruments internationaux relatifs à la protection des défenseurs des droits de l'homme, en particulier la Déclaration des Nations Unies susmentionnée. Elles ne fixent pas de nouvelles normes et ne cherchent pas à créer des droits « spéciaux » pour les défenseurs des droits de l'homme, mais se concentrent sur la protection des droits de l'homme de tous ceux qui sont en danger en raison de leurs activités en faveur des droits de l’homme. Par conséquent, ces lignes directrices visent à contribuer à la promotion de la protection des droits de l'homme pour tous.

Le rapport annuel du Secrétaire général de l’OSCE donne une vue d’ensemble des activités de l’Organisation et de sa coopération avec les États partenaires et d’autres organisations.